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Mise à jour le : 01/04/2022
Léo Gerville-Réache est enseignant-chercheur en statistique et directeur de la faculté de STAPS (sciences et techniques des activités physiques et sportives) sur le campus de Pessac. Un poste au service de la communauté.
Les maths comme une évidence depuis très jeune. Bac C, études en mathématiques appliqués et sciences sociales, doctorat en mathématiques. « J’étais étudiant à l’université de Bordeaux (Bordeaux 2 à l’époque) en 1989 et cette même université m’a recruté en 1999 comme maître de conférences en statistique au sein de la faculté de STAPS. Je dois être un peu casanier… » plaisante Léo Gerville-Réache.
L’enseignement et la recherche sont venus au fil des années, au fur et à mesure des rencontres. Un métier que l’université de Bordeaux lui permet d’exercer avec une vraie liberté de penser, dont il se réjouit. « Je n’ai pour objectif que celui de susciter l’intérêt de mes étudiants, de les faire adhérer. Car sans intérêt, pas de réussite » affirme l’enseignant. Egalement passionné par la recherche, Léo Gerville-Réache « aime vulgariser les choses complexes ». En témoigne la chaîne Youtube qu’il a créée et qu’il anime autant que possible.
« L’enseignant-chercheur à trois missions : enseignement, recherche, pilotage. Chacune me motive et au cours de ces vingt dernières années, je me suis d’avantage concentré sur les unes ou sur les autres. Aujourd’hui, c’est clairement le pilotage (de la faculté des STAPS) qui est ma fonction principale.
Cette diversité avec des moments forts, cette variabilité des investissements, me permet de rester motivé même en cette période difficile » déclare Léo Gerville-Réache élu directeur de la faculté des STAPS en juillet 2020 à la suite de Julien Morlier. « Je suis transversal et je m’appuie beaucoup sur mes équipes. Chacun doit se sentir compétent dans son domaine d’expertise. Ce n’est pas vraiment rationnel de prendre des responsabilités, il faut y trouver son bonheur, et c’est mon cas ! » déclare-t-il.
Chacun doit se sentir compétent dans son domaine d’expertise.
« Un lieu de production et de diffusion des savoirs, d’échanges intergénérationnels et interculturels. Une université dynamique et attractive à laquelle je suis fier d’appartenir et grâce à laquelle j’ai fait de belles rencontres, de beaux travaux de recherche… Je souhaite qu’elle puisse accueillir d’avantage les étudiants en proximité. J’aimerais que les implantations à Périgueux, Agen, ou encore dans le Pays Basque se développent. C’est de mon point de vue une réponse à l’égalité territoriale d’accessibilité à l’enseignement supérieur. Nous avons besoin de nous délocaliser davantage car beaucoup d’étudiants n’ont plus les moyens de venir étudier à Bordeaux et s’auto censurent, c’est problématique. »